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16 novembre 2010 2 16 /11 /novembre /2010 00:49

Nyah, je suis dégoûté, à l'heure où je commence ce post, si la chance avait été avec moi, je serais en train de mater le dernier Ghibli. /me dég'.

Du coup, faisons un post à la réflexion bancale.

 

 

L'autre jour, je me suis rerereregardé Fruits Basket. La faute au fait qu'à remplir les descrpitions de cartes pour Animint No Sekai (un jour, je ferai un article dédié pour y crier tout mon amour), j'ai eu envie de m'y remettre, tout comme remplir les descriptions des Chevaliers d'Or m'a donné envie de regarder la partie Hadès et Lost Canvas des Chevaliers du Zodiaque. Mais passons.

 

Alors que j'étais tranquillement allongé sur mon lit à laisser ma gorge se rafraîchir au contact d'un breuvage éthanolisé, arriva l'épisode qui tournait autour du personnage nommé Kisa. Cette petite fille qui a une capacité non-négligeable à faire tourner la tête à n'importe quel lolicon, est devenu muette suite à de multiples brimades de ses camarades de classe qui se moquaient d'elle dès qu'elle parlait. Sans compter qu'en plus, elle s'est fait tabasser par son chef de famille. Ouip, dans le registre "gens malheureux", Fruits Basket envoie du lourd. A un moment dans l'épisode, un personnage lit la lettre d'un professeur qui se résume plus ou moins à ceci : "Pour que les autres t'aiment, tu dois d'abord commencer par t'aimer toi-même". Et là, mon esprit s'est dit : "Tiens, mais c'est un peu la conclusion de la série TV Envagelion en fait." 

Sauf que dans la foulée, le lecteur de la lettre caractérise la réflexion du professeur comme : "A gerber."

 

Oh... WAIT !

 

alart.jpg

 

 

 

Il est tout simplement en train de dire que Hideaki Anno a dit de la merde avec Evangelion. Et là, les personnages dévoilent leur vision du monde : "C'est que quand les autres nous disent qu'ils nous aiment, qu'on peut déjà commencer à s'aimer moi-même".

En somme, ils ne dénient pas le fait que, quand on s'aime soi-même, c'est sans doute plus simple pour être aimé les autres, par contre, il y a une nette opposition sur comment s'aimer soi-même. Dans un cas, c'est "Fais le boulot tout seul", dans l'autre, c'est "Les autres t'aident". La bonne question étant alors : Quelle vision est la plus juste ?

 

Bien sûr, dire qu'une vision est juste est trop manichéen comme approche. Disons, la vision qui est la plus proche de la réalité (réalité qui découle de sa vérité du monde selon Evangelion, ce qui fait que dès le début, on peut noter un biais dans mon approche. Mais ce n'est pas une raison pour ne pas continuer à explorer un peu la chose).

 

Replaçons déjà un peu le contexte. D'un côté, on a Shinji Ikari, personnage plutôt très renfermé s'il en est, qui a ses 14 ans, de l'autre, on a Kisa Sôma qui tape dans les 12/13 ans. L'écart est peu, mais je pense qu'on peut le considérer comme suffisant, l'étape de l'adolescence a tendance à faire évoluer les gens rapidement. De ce fait, on peut aisément supposer que Ikari, bien plus en crise d'adolescence que Kisa, est bien moins réceptif aux compliments ou aux messages d'amour que peut lui prodiguer son entourage. Surtout que 90% de son entourage est constitué d'autiste comme lui, c'est pas top, il risque d'attendre longtemps les soutiens. On pourra quand même noter qu'il y en a quand même assez régulièrement tout au long de la série, principalement de Misato et parfois, de Rei. Et j'allais oublier Kaoru. D'ailleurs, on pourra noter que c'est lui qui arrive le plus à faire avancer Shinji. Si Shinji accepte aussi facilement les déclarations d'amour de Kaoru, dans le sens où, même si ça le gêne, il en apprécie la teneur, c'est tout simplement parce que Kaoru a le même âge que lui. C'est plus délicat de jouer l'adolescent boudeur/incompris dans ce genre de situation, comme Shinji le fait régulièrement avec Misato.

C'est un peu la même chose qui se passe avec Kisa, qui se fait consoler par des personnes plus proches de son âge, là où ses parents ont échoué.

 

...

 

Et c'est là, alors que je me disais que je tenais un truc intéressant, je me rappelle qu'au début de la conclusion finale d'Evangelion, Shinji passe aussi par une étape "Ah bon ? Vous ne détestez pas ? Vous m'aimez ?". Donc qu'en fait, là où je croyais voir une opposition intéressante dans la thématique d'acceptation, je réalise que les deux oeuvres délivrent le même message, mais en appuyant plus sur ce qui est le plus intéressant pour leur public.

En fait, aussi bien Natsuki Takaya que Hideaki Anno ont le même message de bout en bout. La première étape est d'accepter le fait que les autres nous aiment ou ne nous détestent pas par défaut, la seconde est d'utiliser ce fait pour commencer à s'apprécier soi-même.

 

La nuance ne se situe que dans la "mise en valeur" de chaque étape qui n'est finalement que la représentation du public-cible.

Dans Fruits Basket, qui vise d'abord un public féminin, la notion est la plus importante est de prouver qu'on est aimé et donc qu'on progresse principalement grâce aux autres, donc la première étape qui nous permet de nous apprécier nous-mêmes. On relève la tête avec l'aide des autres.

Dans Evangelion, qui vise plus un public masculin, le plus important est de pousser les gens à s'apprécier eux-mêmes par leurs propres moyens, que ce soit eux-mêmes qui fassent l'effort, on est plus dans la seconde étape.C'est bien connu, un homme, ça s'assume et ça préfère se dépatouiller seul, question de fierté masculine.

 

Ca peut paraître un peu cliché, mais c'est aussi un fait assez générique que les filles vont plus avoir tendance à pleurer entre elles et se faire des câlins pour se remonter, tandis que c'est moins courant que des mecs se fassent des câlins pour se remonter le moral. On entend plus souvent des filles se dire "Je t'aime ma copine" avec grosses embrassades à la clé, que voir des mecs le faire.

C'est étrange, car c'est un peu le stéréotype qui se mord sa propre queue. Car, de base, on pourrait croire que ses deux animes professent deux vérités différentes sur l'acceptation de soi (et j'ai couru dans le piège), alors qu'en fait, ils font uniquement la même chose, sauf qu'ils accordent une plus grosse importance à une étape différente pour répondre à la sensibilité.

 

...

 

Donc Evangelion et Fruits Basket ont finalement une vision de l'acceptation de soi totalement identique, mais formulé de manière légèrement différente pour des questions de public-cible.

 

Si on m'avait dit que j'aurai sorti ce genre de truc un jour, j'aurai pas cru. Finalement, Evangelion, c'est rien qu'un shôjo testostéroné si on pousse un peu la logique plus loin. Mais on va arrêter là, j'en ai déjà trop fait pour aujourd'hui.

 

...

 

Et je suis dég' de ne pas avoir pu aller voir Arriety. Et en plus, faut que je refoute la main sur mon CV que je n'ai plus.Et que je le refasse.

 

...

 

JE HAIS LES LUNDIS.

 

 

chiro

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12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 15:01

Cette semaine, les liens se sont accumulés.

 

Comme ça.

 

Ca arrive parfois.

 

Donc, vidons, vidons :)

 

Aors, qu'il y a-t-il eu d'intéressant ces derniers temps ?

 

- les relations entre Facebook et Google doivent franchement amuser la Silicon Valley. C'est encore plus fort que Dallas, ce truc.

 

- ces derniers temps, on parle souvent de la guerre des monnaies. Mais...  C'est quoi au fait ?

 

- une publicité pour le contrôle parental plutôt...

 

- Attraction va ouvrir le 16 Novembre. Le pitch ? Et bien, ça va être un manga interactif commandé par un organisme de chez nous sur la cigarette. Ma foi, la bande-annonce est plutôt prometteuse. :)

 

- Vous vous ennuyez ? Un petit coup sur le debilitron et vous ne verrez plus jamais vos sites comme avant :D (dommage qu'il y ait des problèmes d'encodage qui traîne ceci dit :( )

 

- c'est quoi l'humour palestinien ?

 

- vous voulez être top-in ? Alors, ce miroir est fait pour vous !

 

- Oh... Le generator de couverture de Martine est ressorti ! ^^

 

- Jusqu'à quand la presse papier va-t-elle vivre ?

 

- Internet + culture + français = ???

 

- les Lego Star Wars, ça déchire toujours autant !

 

- la pub avec des lapins crétins. Parce qu'ils sont vraiment crétins :D

 

- Oh, et puis, la version longue du :

Et pour finir, Schopenhauer, c'est quand même un type fortiche, vu qu'il explique pourquoi le net est un lieu de débats sans fin :

 

 

"Pour s’extraire de ce comportement, il suffit de formuler un jugement correct : cela revient à dire qu’il faut réfléchir avant de parler. Mais la vanité innée est souvent accompagnée par la loquacité et une mauvaise foi innée. Ils parlent avant de réfléchir, et même lorsqu’ils se rendent compte plus tard que leur position est fausse, ils essaieront de faire en sorte de paraître que ce n’est pas le cas. L’intérêt dans la vérité qu’on aurait pu croire leur seul motif lorsqu’ils déclarèrent leur proposition vraie, doit céder le pas à l’intérêt de la vanité : la vérité est fausse et ce qui est faux paraît vrai.
Il est pourtant quelque chose qui peut être dit sur cette mauvaise foi, sur ce fait de persister à soutenir une thèse qui paraît fausse, même pour nous-mêmes : nous sommes souvent initialement convaincus de la validité de notre propos, mais les arguments de notre adversaire semblent les réfuter. Si nous abandonnons immédiatement notre position, nous pourrions nous rendre compte par la suite que finalement nous avions raison et que c’était la preuve adversaire qui était fausse. L’argument qui nous aurait sauvé ne nous est pas venu sur le moment. C’est donc de là que découle cette maxime que d’attaquer un contre argument quand bien même celui-ci nous paraît criant de vérité, en espérant que celle-ci n’est que superficielle et qu’au cours du débat un autre argument nous viendra qui pourra endommager la thèse adverse ou confirmer la validité de la notre : nous sommes ainsi comme presque forcés à être de mauvaise foi, ou du moins fortement enclins à l’être. La faiblesse de l’intellect et la perversion de la volonté se soutiennent mutuellement. De là, ces joutes n’ont pas pour objectif la vérité mais une thèse, comme s’il s’agissait d’une bataille pro aris et focis poursuivie per fas et nefas. Comme expliqué plus haut, il ne peut en être autrement."

 

 

Et une image pour finir qui montre que mal utiliser facebook, ça fout la honte quand même :

 

facebook

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9 novembre 2010 2 09 /11 /novembre /2010 01:10

Un article qui va au moins titiller l'intérêt d'un certain Drig. Et peut-être celui de Julien. Au hasard :)

 

 

Commencer à regarder Macross 7 après LOGH était une mauvaise idée. Les personnages paraissaient forcément insipides et un peu concons, ce qui m'avait fait lâché l'affaire rapidement lors de mon premier visionnage. Puis le temps a suivi son sinueux trajet et j'ai eu envie de redonner une chance à cette anime nommé : Macross 7.

 

Bilan ?

 

Et bien, ce fut plutôt positif.

 

Soyons honnête, Macross 7 n'est pas que bourré de qualités et a des défauts rédhibitoires. Mais sur l'ensemble, on se retrouve avec un anime plutôt agréable, malgré quelques abus dans les recoins.

 

Le synopsis est le suivant : Nekki Basara est le chanteur du groupe Fire Bomber. Son plus grand rêve est que les gens écoutent sa musique. Il y tient tellement que, lorsque de nouveaux ennemis inconnus attaquent le vaisseau de colonisation Macross 7, il saute au milieu des combats avec sa Valkyrie rouge et se met à chanter face à ces derniers, gênant ainsi les militaires déployés. Quand aux ennemis, la chanson de Basara ne leur fait aucun effet., ils se contentent de continuer à zombifier les humains. Ce qui n'empêche pas ce dernier d'essayer encore et encore, voulant toucher leur coeur à travers ses chansons. La musique de Basara sera-t-elle un jour écoutée par les ennemis aussi bien que par les humains ? 

 

Macross 7 est donc une série TV liée Macross, ce qui inclue donc :

- de la musique

- un triangle amoureux

- les inérrables Valkyries, avions qui se transforment en robot géant avec de gros fusils

- un gros robot géant qui a un grooooooooooos canon qui fait mal

- des ennemis qui sont forcément très méchants à la base

- éventuellement, un morceau de culture ancienne

- et tout cela dans l'espace, of course

 

Et sur ces points-là, on ne peut pas dire qu'on soit déçu, on en a pour notre argent. Mais est-ce suffisant ?

 

 

Basara Nekki Macross 7Le héros. Un peu tête à claque au début quand même. Il a son style.

Et non, l'image n'est pas à l'envers.

 

 

 

Macross 7, un petit problème de rythme

 

 

 

L'un des plus gros défaut de Macross 7 est son rythme. La série est sacrément longue (45 épisodes) et il y a régulièrement des longueurs qui parsèment la série. Si cela peut être compréhensible au début de la série que Basara passe son temps à échouer dans ses tentatives, sinon on aurait l'impression qu'il réussit tout en claquant des doigts, il peut y avoir une certaine lassitude qui puisse poindre à force de subir un shéma narratif qui ne bouge quasiment pas d'un ïota pendant une vingtaine d'épisodes. Dans ce genre de cas, l'attention du téléspectateur peut être retenue si l'histoire de fond garde un rythme soutenu, mais ce n'est malheureusement pas le cas dans la première partie de la série. J'ai personnellement atteint le point de saturation aux alentours des épisodes 24/25 où une des méchantes (un prodevilin que ça s'appelle) prend possession de corps humains pour "enquêter" sur Basara. Entre les "Oh vi, je jouis en écoutant ta musique" et "Oh, je dois m'enfuir et vite !" -sachant que ça doit faire au moins la dixième fois qu'elle s'enfuit quand Basara chante, ce qui commence à être désagréablement répétitif- , l'ennui commençait à poindre méchamment. Heureusement que l'histoire s'est dynamisée après ce passage, car, par opposition, la deuxième partie garde toujours ce côté répétitif au niveau du déroulement de chaque épisode, MAIS, la trame de fond est bien plus nerveuse, ce qui nous tient un peu plus en haleine.

Il n'en reste pas moins que certains gimmicks obligatoires (comme, par exemple, la transformation de la Valkyrie du héros, ou voir les mêmes scènes de destruction de vaisseaux pendant les batailles), répétés ad vitam eternam, confinent presque à filer un état nauséeux.

Et quand on voit comment l'épilogue a été bâclé après le combat final (genre : "Ah ouais, on peut faire ça aussi. Bon, allez salut, on a à faire." alors qu'ils viennent juste de manquer de raser l'univers), on peut regretter qu'il n'y ait pas eu un meilleur équilibre narratif. Car même si la relative lenteur de la première partie se justifie par le fait qu'il faut éviter de donner l'impression que tout soit facile pour le groupe des Fire Bomber, elle aurait gagné à être un peu plus punchy. Tandis qu'à l'inverse, la fin aurait gagné à traîner un peu en longueur...

Mais bon, l'oeuvre parfaite n'existe pas, malheureusement.

 

Max Macross 7

 

VS

 

 

Millia Macross 7

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A gauche, le chef militaire, Max.

A droite, la maire, Milia.

Et ils sont mariés ! \o/

Max et Millia, un couple qui brisent la monotonie et règlent leurs comptes en direct ! \o/

 

 

 

 

Macross 7, du fanservice à tire-larigot

 


 

Mais, en dehors de ce problème de rythme, la série a quand même pas mal de pep's à côté de ça, qui annihile en partie sa lenteur. L'humour reste bien trouvé et il y a plein de détails qui font plaisir. Comme remarquer que dans la colonie, il y a une tour Eiffel à côté de Big Ben, logique ^^ .

Ou d'un côté plus fanservice macrossien, la présence de Max et Milia, protagonistes assez importants de la première série Macross, qui sont maintenant respectivement Commandant de l'armée de Macross 7 et Maire (entendre chef civil) de Macross 7. C'est agréable de les voir plus vieux et de voir comment leur relation a évolué alors qu'ils sont le premier couple officiel Meltlandi/Humain (d'ailleurs, je note que le terme Meltlandi est souvent remplacé par le terme Zentradi suivant les séries, à croire que le canon a du mal à se fixer sur ce point, sans doute à cause de la différence entre le premier film et la série originelle). A côté de ça, ça permet de découvrir ce que sont devenus leurs enfants (punaise, ils en ont eu sept ??!! Ah ben, le Max, il traîne pas !), enfin principalement Mylène qui est leur seul enfant présent sur le Macross 7 et qui est au centre de la série et du triangle amoureux. Car la pauvre a la chance d'être la chanteuse et guitariste du groupe des Fire Bomber....

 

A noter que Mylène déchire sur un point : à chaque nouvel épisode, elle a de NOUVELLES FRINGUES. Et PUNAISE, ça fait du BIEN de voir ça ! C'est tellement rare dans les animes, que c'est un pur bonheur de voir ENFIN une fille suffisamment propre sur elle pour changer de fringues. Ca mériterait presque une image qui compile tous les vêtements qu'elle porte tiens ! (si j'y pense à l'occasion, ça serait une bonne idée à réaliser.. Mais c'est qu'elle a un paquet de tenue la miss... En plus, je suis sûr que ça doit déjà exister...). Bon, OK, les autres ne changent pas de fringues, mais qu'au moins un des persos le fasse, c'est presque un renouveau dans la japanim (un renouveau dans une série qui a 15 ans, logique). D'ailleurs, ce détail m'a motivé à mater des épisodes parfois, quand je commençais à me lasser de la série. Après tout, j'ai bien aimé jouer à la poupée avec Travis Touchdown, y'a pas de raisons que je n'apprécie pas de voir quels nouveaux vêtements Mylène va porter. Surtout que ces derniers sont plutôt variés quand même : robe, casquette, chapeau, mini-jupe, short découpé, débardeur, pantalons et j'en passe. Miam. Elle aurait eu quelques années de plus, j'en aurais fait mon dessert. L'autre avantage d'avoir varié les vêtements, c'est que l'épisode "A la plage" est passé bien mieux.

A la base, ce genre d'épisodes n'existe que pour montrer les filles d'une série en maillot de bain, seule autre tenue existante en dehors de leur uniforme ou machin qu'elles portent tout le temps. Là, ben... En dehors du fait que l'héroïne est plate, le maillot de bain n'est qu'un vêtement comme les autres finalement. Donc, le fait que Mylène soit en maillot de bain ne permet pas de jouer sur le fanservice sexuel classique de l'épisode en bord de mer, vu qu'elle porte tellement de vêtements différents, qu'on peut lui trouver bien plus d'autres tenues plus "intéressantes". Ch'suis pas vraiment sûr d'être clair là.... Bref, OSEF, même l'épisode à la plage ne fait pas racoleur du coup, c'est tout ce qu'il y a à retenir (tiens, je suis en train de me demander si Mylène ne porte pas la même tenue qu'Ondine de Pokemon à un moment... A vérifier...).

 

Pour rempiler le tout et compléter le fan-service macrossien, il y a bien sûr de nombreuses références à Lynn Minmay tout au long de la série. On sent que son ombre plane au-dessus de Basara.

 

 

batteuse Macross 7La batteuse. L'exemple-type du perso pas lourd et efficace.

 

 

 

Macross 7, des personnages secondaires plutôt intéressants

 


 

Autre personnage originaire de la première série que l'on a plaisir à retrouver, Exedore. Sorte de savant sage, il prodigue ses conseils à l'occasion, mais est surtout un running gag : dès qu'on se met à parler de protodevilin, IL SE CACHE. UN GEANT DE 50 METRES SE CACHE. Certes, il n'y a que la tête qui se cache. Mais quand même. Par contre, j'ai toujours autant de mal avec un des angles de caméra qui, au lieu de bien placer Exedore au fond de la salle, donne l'impression de le placer au premier rang. Tant pis. Notons que son instant de gloire ne sera pas dans la série TV, en elle-même, mais dans les épisodes bonus, avec sa magnifique maîtrise de tir dans l'espace.

 

Dans un autre registre, un personnage que j'ai vraiment bien aimé, la fille au bouquet de fleurs.  Cette dernière n'a pas dû parler de TOUTE la série et n'est présente que pendant 30 secondes par épisode. Et pourtant...Elle déchire. Cette fille, c'est THE fan du groupe de Fire Bomber et depuis le tout début. Celle qui espère toujours pouvoir donner un bouquet de fleurs à son chanteur favori, Basara. Et pendant 45 épisodes, elle essaye. ENCORE ET ENCORE. Et elle n'y arrive jamais. On ne peut que avoir de la compassion pour cette fille plutôt timide qui n'arrive même pas à accomplir ce petit geste tout simple. Même quand elle prend le taureau par les cornes, elle échoue. La pauvre...

Dans le même registre, la batteuse du groupe des Fire Bombers est vraiment bien trouvée dans le style. Elle doit dire deux ou trois phrases dans toute la série, mais le reste du temps, elle communique via les baguettes. Elle passe son temps à manier ses baguettes de batterie sur tout et n'importe quoi : fenêtre, canapé, mur... Ce qui fait qu'on l'entend fréquemment ponctuer les propos des personnages ou, tout simplement, on devine son état d'esprit de la manière où elle joue ses baguettes contre un mur ou une fenêtre. De surcroît, c'est une petite astuce intelligente qui permet facilement d'incorporer des petits rythmes en fond sonore pour accompager les propos des personnages.

 

Du côté des méchants, j'ai bien aimé Gigil. Bon, il y avait marqué sur son front avec un gros marqueur rose fluo : "Je vais mourir avant la fin de la série" vu qu'il était très méchant, mais aussi très fun à n'en faire qu'à sa tête, ce qui lui donnait un côté cool, plus cool que le héros, et quand on est plus cool/classe que le héros dans Macross, on meurt. C'est systématiquement prouvé dans toutes les séries TV, un peu moins dans les OAVs.

 

Et le monstre Glavil a quand même une bonne tête de vainqueur.

 

Glavil Macross 7Glavil, aka tête de vainqueur ! \o/

 

 

 

Macross 7 et ses petits points négatifs

 

 

 

L'un des premiers points qui m'a ennuyé, c'est le résumé qui passe avant le générique. Tout simplement parce que si c'est 99% du temps la même chose, il y a parfois un petit 1% qui donne une petite information intéressante sur la flotte de Macross . Du détail certes, mais quand on aime bien ce genre de trucs, c'est un peu chiant de se taper une minute de dialogue pour avoir une mini-info intéressante. Tant pis, faut faire avec.

 

Dans un autre registre, le triangle amoureux m'a déçu vu que ce n'en est pas vraiment un quelque part. C'est plus un double amour plus ou moins à sens unique. Enfin, pas tout à faire non plus. Mais bon, allez demander à une gamine de 14 ans de se marier avec un type de 5 ans son aîné qu'elle ne connaît pas à la base, je doute qu'elle soit d'un enthousiasme débordant. La joie des mariages arrangés en somme.

 

Sinon, le mauvais goût jap' a encore frappé en foutant des canons dans les seins du robot de la fille. Y'a des serpents de mer qui ont décidemment passé un pacte avec les japs dans ce domaine.

 

Si globalement, les musiques sont variées et que l'on a beaucoup de chansons différentes, la principale revient quand même souvent. TRES souvent. Des fois, à force de frapper avec un marteau, les trucs rentrent dans notre tête et on se met à apprécier la musique et à guetter son arrivée, là... Même si je ne la trouvais pas désagréable à l'oreille, j'ai quand même eu une overdose. Mais bon, j'y ai survécu, donc on peut considérer que c'est du domaine du supportable (quoique... j'ai quand même un entraînement dans ce domaine qui fait que mon seuil de tolérabilité est certainement plus élevé que la moyenne :p )

 

Sinon, le chef des méchants est quand même un méchant trap. J'ai été déçu pour le coup :(

 

Au niveau de l'histoire, j'ai été un peu étonné que Gamlin ne demande pas d'explications à Mylène au sujet du groupe. Elle lui a caché son existence depuis le début et quand il découvre la chose, bah non rien. Moyen.

 

 

Bis repetitae Macross 7Une scène qu'on verra bien trop souvent. Hélas....

 

 

 

Macross 7 et ses petits détails à la con

 


 

Disons plutôt que ce sont des passages qui m'ont fait sourire, comme par exemple cette phrase :

 

"Même si c'est futile, au moins c'est agréable de regarder des jeunes filles en maillot de bain." <= Cette phrase résume le moe.:D

 

 

La Battle 7 qui passe au moins 5 épisodes avec son flingue pointé vers le ciel, m'a toujours fait sourire. Il a l'air vraiment con ainsi. On peut croire qu'il a une posture classe, mais en fait, il bloqué comme une merde dans cette position ^^

 

L'article Yaoï dans le journal people de la ville vaut aussi pesant de cacahuète. Comme quoi, le yaoï, c'est loiiiiiiiiiin d'être récent ;D

 

J'ai eu du plaisir à découvrir le YF-19, alors que je connaissais que sa version améliorée dans Macross Plus. D'ailleurs, l'équipe Diamant a des vaisseaux qui m'ont fait penser au YF-21 présent dans Macross Plus. Sans compter qu'il y a une concurrence entre le YF-19 et l'équpe Diamant, ça m'a rappelé quelques bons souvenirs. Ce qui m'a surpris aussi, c'était de voir qu'il y avait des scènes de Macross 7 qui m'ont fait automatiquement penser à Macross Plus. Sachant que les deux ont été produits en même temps, j'ignore si l'un a triché sur l'autre, ou si ce ne sont que des ressemblances fortuites.

 

Ah ouais, et sinon, je ne comprendrais jamais comment ils font pour trouver autant de pilotes prêts à se faire abattre et comment ils font pour créer autant de nouvelles valkyries. Ca doit copuler dur dans les vaisseaux de colonisation :D

D'ailleurs, c'est là qu'on se dit qu'en 50 ans, ils n'ont pas dû chômer niveau sexe pour arriver à la 25e colonie si on se réfère à Macross Frontier. En fait, ce qu'on ne nous dit pas, c'est que les vaisseaux de colonisation Macross, ce sont des baisodromes géants en fait. Y'a que les persos principaux qui couchent pas au final.

 

Fille aux fleurs Macross 7La fille aux fleurs. Qui rate son chanteur favori. Encore.

Elle mériterait que l'on fasse un fan-club en son nom, car quand même...

 

 

 

Macross 7, la série TV, conclusion ?

 

 

 

Malgré tout ce que j'ai pu pointer ici et là, j'en sors globalement satisfait. Pas transcendé certes. Je n'ai vraiment pas trouvé cette série exceptionnelle. Elle se laisse suivre mais elle aurait pu être mieux à mon goût. Ca traîne un peu trop par moments, sans compter l'alternance de bons et mauvais passages, et la longueur du début. Surtout quand les même scènes de combat sont reprises au moins une trentaine de fois sur toute la série. Disons que ça se regarde tranquillou, sans plus. Aurait pu mieux faire, en somme. Mais bon, j'ai apprécié que les personnages secondaires ne soient pas laissés sur le bord de la route (comme les motardes, par exemple, qui reviennent de temps à autre), et surtout, il faut bien admettre que Basara a la chanson dans le sang !!!

 

 

 

 

Groupe Macross 7 Le groupe des Fire Bombers au complet. Le mec de gauche est sans intérêt. Ou si peu.

Ouip, l'image est pas top.

 

 

 

Mais ce n'est pas fini, il faut que je parle de ce qu'il y a autour de Macross 7 :

 

 

 

Macross 7 Encore

 

 

 

3 épisodes bonus qui complètent la série TV et permet d'avoir un épilogue un peu plus poussé. Plutôt agréable, ils permettent d'éclaircir certains points de l'histoire, offrent des moments assez cocasses. C'est dans ce dernier épisode que Exedore a un moment très GAR. D'ailleurs, le dernier épisode offre une fin bien plus intelligente à la série, dans le sens où elle va vraiment dans le sens de la série. C'est une fin plus logique qui met la patate, ce que Basara cherche toujours à faire après tout.

On pourrait aussi noter que ces épisodes pillent littéralement les musiques de Macross Plus. En tant que super-fanboy de cet oeuvre, je valide ce choix :D

 

La fille aux fleurs 2 Macross 7Parce que je kiffe ce perso qui va se prendre son 35ième vent dans 15 secondes,

je remets une image d'elle ! Désolé, Gamlin, du coup, t'auras pas d'image dans cet article.

 

 

 

Macross 7, the Movie

 

 

 

Franchement dispensable. A part pour découvrir une nouvelle fille de Max et Millia, on peut s'en passer. Notons quand même un duel musical mémorable et le plus gros soutif jamais vu :D

Mais appeler "Movie", un truc qui fait 30 minutes, c'est un peu abusé.

 

Mylene Macross 7

Parce qu'il fallait bien que je mette une image de l'héroïne à un instant donné quand même....

 

 

Macross 7 Dynamite

 

 

 

MIAM ! Ces OAVs sont franchement sympas ! D'une part, ils sont d'excellentes factures, chose qui est toujours agréable et de plus, ces OAVs sur une reprise totalement réinterprétée du mythe de Moby Dick. Ces OAVs ont un côté plus reposant car ils se contentent de montrer d'autres aspects de l'univers Macross, chose qui est souvent négligée. Un peu comme Macross Plus, on navigue dans un cadre plus intimiste, moins épique, plus terre-à-terre. Quelque part, j'ai envie de dire que ces OAVs ont servi de base pour Macross Zero dans le futur. On retrouve cette petite touche écologiste, le fait que les héros évoluent enfin sur la terre ferme dans un village plus "primitif". On sort un peu du côté mecha pour en retour aux sources des valeurs humaines. Je valide à 100% !

Capitaine Achab POWAAAA !!!!

Et c'est aussi là que je me dis que ça devient une habitude dans les histoires de Macross de foutre une bestiole plus ou moins kawaï aux héroïnes de Macross. Y'en a une dans Macross 7, une autre dans Macross 7 Dynamite, et encore une, dans Macross Frontier ! STOOOOOOOOOOOOOOOOPPPPPPPPPPP !!!!!!!!!!!!!

 

Moby dick Macross 7Le truc blanc, c'est... LA MOBY DICK DE L'ESPACE !!!

Le truc marron à droite, c'est... LE CAPITAINE ACHAB DE L'ESPACE (en scaphandre) !!!!

Les trucs roses, ce sont... DES BALEINES DE L'ESPACE !!!!

 

 

 

 

 

Sinon, dans le registre, on s'en fout :

Y'a vraiment des gens qui préfèrent cette couv' là à celle-là ?

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3 novembre 2010 3 03 /11 /novembre /2010 22:18

Il y a quelques années, il y avait souvent des plaisanteries qui tournait sur Doom 3 et une suite de Wolfenstein. Tout simplement parce qu'il était souvent évoqué que ces jeux sortiraient un jour, mais ils ont mis des années à arriver pour des raisons diverses et variées. Du coup, ça devenait un running-gag de parler de leurs sorties. S'ils étaient attendus aussi impatiemment, c'est parce que leurs précédesseurs sont considérés comme des jeux mythiques, et donc, les joueurs attendaient avec fébrilité de pouvoir retrouver les sensations intenses qu'ils avaient connu. La suite ?

Bah, ils sont sortis et ont eu plus ou moins de succès. Enfin, je crois, je ne m'en souviens même plus en fait, vu que ce n'était pas des jeux que j'attendais avec impatience. Par contre, c'était toujours drôle de taquiner ceux qui les attendaient.

 

 

Enfin soit, le temps a passé et depuis, c'est Gran Turismo qui a eu la joie d'hériter du trophée du "Jeu que plein de gens attendent mais qui sort jamais". A l'heure actuelle, la sortie du jeu a bien dû être repoussée une bonne dizaine de fois.

 

Ce qui laisse le champ libre à la concurrence. Et EA, qui sort son fameux et classique Need For Speed sous peu, c'est-à-dire le 18 Novembre, a décidé d'être taquin.

 

Voici ce qu'on pouvait lire dans l'annonce pour la démo :

 

pubnfs

Cliquez sur l'image pour la voir en plus grand.

 

 

 

Dans le genre : "Je me fous de la gueule de mes concurrents pour vendre ma came", ils ont fait très fort là :)

 

Bon, c'est un peu un article bouche-trou, mais je suis en train de peaufiner mon article sur Macross 7 et ce dernier devrait sortir sous peu (faut que je me motive à screener des images en fait) !

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30 octobre 2010 6 30 /10 /octobre /2010 21:49

Et vi.

C'est la fin.

 

Pris d'une frénésie guerrière et voulant enfin mener à terme l'update de la fanfiction avant la fin de l'année, j'ai consacré le deuxième jour de mon we à la boucler.

 

Donc oui, c'est fini. Je suis à la fois content et nostalgique.

 

Ca mérite que je débouche une bouteille de champagne pour la peine.

 

champagne.jpg

 

J'ai quand même ajouté 10 nouveaux chapitres. Pas rien, mais la majorité d'entre eux sont plutôt courts, donc, ça se lit plus vite.

 

Que dire d'autre ?

Ben, je veux bien des retours à l'occasion (ici ou sur fanfictions.fr). Même si je sais qu'elle est blindée de défauts, je suis toujours preneur.

 

Voili, voiloù.

 

Il y a théoriquement une suite à cette fic, mais de là, à ce que je l'écrive... Je suis plus motivé pour faire des one-shots sur Tierkreis pour le moment. On voira.

 

En tout cas, c'est une bonne chose de faite pour cette année ! C'était dans mes résolutions de début d'années, j'ai ptêt failé sur le sport, j'ai au moins réussi ça ! \o/

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 02:44

 

http://images.allocine.fr/r_760_x/medias/nmedia/18/36/20/42/18673266.jpg

 

 

John Tuckerdoit mourir

 

Dans le genre : "Petit teen-movie de poche qui casse pas trois pattes à un canard", il est plutôt réussi. John Tucker, le fameux jardinier de "Desperate Housewifes", est plus ou moins le héros de ce teen-movie. Il est THE seducteur du lycée, celui sur lequel toutes les filles se touchent le soir celui avec qui chaque fille rêve de sortir. Plutôt doué dans l'art du mensonge, il sort avec trois filles en même temps sans qu'elles n'en sachent rien. Jusqu'au jour où elles vont l'apprendre et vont préparer leur revanche, revanche qui va avoir le résultat inverse de celui escompté...

L'humour du film est plutôt gentillet et évite de sombrer dans le gras facile et les filles sont jolies.C'est plutôt soft et le rythme reste bon de bout en bout, on n'a pas le temps de s'ennuyer. Le film évite aussi de sombrer trop facilement dans le graveleux à part un détail ou deux, ce qui est plutôt appréciable. Ca change des teen-movies plus basiques qui ne savent pas sortir de la tranche sexe/alcool/niaiserie. En somme, on est plus proche de "La revanche d'une blonde" que d'un "American Pie". Sans doute parce que des filles sont au centre de l'intrigue, ce qui introduit un peu de différence avec le teen movie où c'est toujours une histoire de héros qui veut coucher ou autre. C'est bien connu, les filles ne pensent pas qu'au sexe ( LOL ).

 

Bref, un bon petit film sandwich, pas trop lourd et qui évite le graveleux. Les héroïnes sont un peu concons sur les bords, mais c'est ce qui fait leur charme et globalement, ça reste soft dans tous les sens du terme. C'est agréable des trucs pas graveleux de temps en temps. Pourtant, il y avait largement possibilité d'en faire :)

 

 

 

 

Un film qu'il est tellement pourri qu'il n'a même pas d'affiche sur Alloncine

 

Mega Piranha

 

Là, c'est du lourd de chez lourd de chez lourd. Je crois que je viens de voir le pire nanar de ma vie. D'ailleurs, je ne sais point si c'est un navet tant l'horreur cinématographique est poussée à son paroxysme. Les effets spéciaux sont laids à mourir, d'une réalisation absolument infecte et.. Le réalisateur en sur-abuse. Au point de piquer les yeux ! Même un banal hélico est fait en image de synthèse super laide. A faire regretter le temps des stock-shots.... Sans compter que ça en dit long sur le budget qu'a dû recevoir le film...Et oh, je ne vous parle pas des décors. On a l'impression que les accessoiristes n'ont meme pas eu une once de budget pour donner une quelconque crédibilité aux lieux squattés. D'ailleurs, il est probable que les lieux de tournage ne sont juste qu'un bunker de la guerre 40 réaménagé avec deux coups de peinture, l'avantage étant que l'équipe peut facilement squatter ce genre de lieu.

Et encore, je ne vous ai pas parlé du jeu d'acteurs. Ce dernier est tout simplement GRANDIOSE ! Les personnages sont tellement confondants de réalisme qu'il seraient capables de faire passer du plomb pour de l'or. Sisi, je vous jure. Ils ont tellement l'air d'être à côté de leurs pompes quand ils jouent, qu'on pourrait très bien les prendre pour des échappés de l'asile.Sans compter que même la fin est incohérente - bon, en même temps, tout le film est incohérent donc bon....

En fait, ce film est forcément une gigantesque face, je ne vois que ça. Je n'ai jamais vu un tel truc. Là, on on touche au très-haut level du nanar. A réserver aux plus gros fans du genre.

 

 

 

http://images.allocine.fr/r_760_x/medias/nmedia/18/73/44/83/19210226.jpg

 

Sumô

 

Pour compenser un peu ces films de seconde zone, je vais vous parler d'un film israëlien nommé Sumô. Israël ? Sumô ?

Ca apparait comme un mélange étrange, effectivement. L'histoire tourne d'un groupe de gros qui vont faire du sumô plutôt que de continuer des régimes qui ne fonctionnent jamais et de subir l'ostracisme de leurs compatriotes. Les sumôs étant considérés comme des quasi-divinités au Japon, ça leur donne envie de valoriser leur graisse et de combattre contre toutes les remarques désagréables qu'ils ont pu subir. Rajoutez par-dessus une petite histoire d'amour et... Vous n'avez qu'une partie du film qui est loin d'en être son coeur. Et non, son coeur n'est pas l'humour du film assez plaisant.

Mais c'est plutôt la prison de mensonge et de peur qui peut être lié au fait que l'on soit gros, et surtout, la peur de décevoir l'autre à cause du fait que l'on soit gros. C'est assez frustrant de voir le personnage principal mentir encore et encore à celle qui l'aime car il n'arrive pas à assumer ce qu'il fait. Et les autres personnages principaux aussi, doivent se débattre avec leur propres problèmes : l'un est trompé par sa femme, l'autre n'assume pas son homosexualité, ...

On se retrouve donc avec une galerie de personnages touchants sans pour autant que ça ne sombre dans le pathos lourd et dégoulinant. Le côté simple du film évite cet écueil et reste très accessible. Il y a une petite naïveté agréable même si on aurait parfois envie de mettre deux baffes au héros à cause de sa mythomanie.

Le film, en tout cas, réussit pleinement son pari d'être distrayant. Plutôt calme et tranquille, on se laisse aisément porter par cette histoire de Sumôs israëliens.

Mention spéciale à la scène de la mort du père qui est un grand moment de cinéma :)

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26 octobre 2010 2 26 /10 /octobre /2010 12:21

Comme certains d'entre vous le savent, je suis aussi un chroniqueur de Mangavoraces. Mangavoraces est une base de données où des chroniqueurs... chroniquent.

 

A l'origine de Mangavoraces, l'idée était de couvrir toutes les sorties manga de la semaine, chose qui n'est actuellement plus possible vu le nombre de sorties et le nombre de chroniqueurs actifs. Toutefois, le projet continue sa petite vie, bon gré mal gré, et une partie des nouveautés est donc passée au grill chaque semaine. Les chroniques sont alors normalement publiées le dimanche soir tard ou plutôt, le lundi matin, avec une semaine de décalage à cause du fait qu'il faut bien que les chroniqueurs aient le temps d'acheter le bousin, de le lire et rédiger une chronique.

 

Pour être un peu plus clair : les sorties des mangas s'étalent du mardi au vendredi dans une semaine, de ma propre existence personnelle. Les chroniques, elles, sont publiées le dimanche de la semaine suivante. Il y a donc un battement de 10 jours grosso-modo, entre le moment où le manga est dispo et le moment où la chronique liée est sortie. Difficile de faire mieux, vu qu'il y a une mise à jour globale à gérer.

 

Et à défaut de continuer à chroniquer (vi, je fais partie des passifs malheureusement, je ne prends jamais le temps de rédiger des chroniques, c'est dommage... Ca doit être aussi lié au fait que j'achète bien moins de mangas qu'avant et que je ne les ai pas forcément sous la main quand j'ai envie de faire une chronique), je vais annoncer quand des chroniques sont publiées. C'est pas dur, c'est de l'hebdomadaire (ou du double hebdomadaire).

Je ne vais peut-être pas le signaler systématiquement vu que sinon je vais avoir l'impression de spammer mon propre blog, mais je ferai peut-être un bilan par mois/15 jours ou quelque chose du style. Je ne suis pas encore définitivement fixé. La seule chose dont je suis sûr, c'est que ce sera publié dans la catégorie "Actualités" de ce blog, ce qui veut dire que ça arrivera dans la partie "News" de sama, pour information.

 

 

 

act4_117.jpgToi aussi, en lisant Mangavoraces, aies des yeux qui s'illuminent en forme de coeur !

(ou comment recycler une image d'un vieil article)

 

 

 

 

Et donc, concernant cette semaine ?

Et bien, il y a la sortie de 12 nouvelles chroniques ! 

 

 

A noter que Maiwai de Minetaro Mochizuki a été mis en avant vu qu'il a bénéficié de trois chroniques. Pour expliciter  un peu, une nouveauté est mise en avant si elle regroupe trois avis de chroniqueurs différents le jour de sa sortie. Si les trois chroniques sont positives, c'est un coup de coeur, sinon, une controverse.

Trois chroniques est le maximum de chroniques que peut recevoir un volume. Inutile de préciser que sur certains volumes attendus, les chroniqueurs ont recours à des méthodes peu enviables afin de pouvoir poster leur chronique. Chantages, trahisons, meurtres, menaces de mort, les esprits faibles se cachent en ces jours maudits. Heureusement que ça arrive rarement. Heureusement....

 

Un dernier point :

Evidemment, la base de donnée reste disponible au fur et à mesure du temps. Et des chroniqueurs alimentent les vieux titres au fur et à mesure de leur temps libre. On peut retrouver les derniers "vieux" titres qui ont reçu une chronique ici.

 

Sinon oui, Mangavoraces est hébergé à titre gracieux par Akata. Et non, cela ne donne pas lieu à des consignes sur les chroniques, on reste totalement libre et sans pression. Enfin si, il y a une consigne : la seule personne qui participe au projet et qui travaille chez Akata n'a pas le droit de chroniquer les mangas Akata, ce qui tombe un peu sous le sens :)

 

Voili, voiloù, que dire d'autre ? Le projet est toujours à la recherche de gens motivés, comme tout projet qui se respecte ^^

Après, il faut faire montre d'un certain esprit de motivation. Les gens qui passent, postent 2/3 chroniques, puis disparaissent, ben, c'est tout pourri quoi... Il y a une attente d'un peu plus de sérieux au niveau du travail à fournir (par contre, niveau comportemental, je suis dans le projet, ça peut tout dire. Notez bien que je dis que ça peut tout dire, pas que ça veut tout dire :D ).

 


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23 octobre 2010 6 23 /10 /octobre /2010 19:08

Il y a peu, je me suis visionné l'entièreté de la série gentiment nommée Battlestar Galactica.

 

Et je suis ressorti de ce visionnage complètement conquis.

 

Cette série est une série de science-fiction (avec Battlestar dans le titre, ce n'est guère étonnant ^^) qui a la bonne idée de commencer son histoire en... Détruisant 99,99 % de la population humaine (plus précisément 99,99975%, mais ne chipotons pas).

 

D'ailleurs, l'introduction avant chaque épisode est assez amusante vu que ces quatre phrases se succèdent entre diverses images :

 

 

«Les Cylons furent créés par l'homme.
Ils se sont rebellés.
Ils ont évolué.
Et ils ont un plan.
»

 

Yeah !

Il ont un PLAN !

On sent les cyborgs qui NE PLAISANTENT PAS !

 

Notons en passant que ce résumé va être amené à évoluer au fur et à mesure des saisons, suivant les diverses révélations qui vont apparaître. Et ces dernières vont être nombreuses, pour le grand plaisir des téléspectateurs.

 

Comme c'est annoncé ci-dessus, les Cylons sont des robots créés par l'homme et ces deux espèces sont entrés en guerre, car les Cylons se sont révoltés contre leurs conditions d'esclave. Un armistice a été conclu par la suite et chaque camp restait chez lui (comme les deux Corées en somme). Jusqu'à ce que la guerre reprenne via l'attaque des Cylons.

 

Cette attaque a été redoutable et aurait dû conduire à l'anéantissement de toute l'humanité. Toute ? Non, un petit vaisseau militaire a survécu, le Galactica, qui résiste encore et toujours aux attaques ennemies. Le Galactica est ce que l'on appelle un Battlestar, un vaisseau avec de gros canons qui font piou-piou et qui transporte des A-Wings   Vipers, sorte de petits vaisseaux spatiaux de chasse. Bref, c'est un porte-avion en somme. Sauf que c'est un vieux porte-avion qui doit être mis à la casse au début de l'histoire, vu qu'il est complètement dépassé en terme d'avancées techniques et technologiques (un peu comme notre Charles-de-Gaulle) par rapport au reste de la flotte. Il est même surnommé "la Poubelle" et doit finir sa vie en musée géant. S'il est aussi dépassé, c'est tout simplement parce qu'il a été conçu pendant la première guerre contre les Cylons, 50 ans plus tôt, c'est-à-dire avec peu de programmes informatiques et plein de trucs de la vieille école. Tout simplement parce que les Cylons étant capables de pirater les réseaux informatiques à distance en tant que robots, il fallait réduire à minima toute informatique à bord des vaisseaux. C'est pour ça qu'il possède plein de trucs aberrants, comme des téléphones avec fil par exemple (bon, j'exagère, mais vous voyez bien l'idée). C'est une des raisons qui font que ce vaisseau va pouvoir survivre, au contraire de la flotte moderne qui va juste se faire démâter par les Cylons qui vont la pirater à tout va. Bien sûr que ses vaisseaux avaient des défenses contre le piratage, mais les Cylons vont contourner la chose en se servant de la "naïveté" humaine.

Le Galactica va alors rencontrer une flotte de civils qu'il va prendre son aile, vu qu'ils sont les derniers restes de l'humanité. Et tout ce joli monde va partir à la recherche de la Terre, la Treizième Colonie afin de trouver un havre de paix. Mais bien évidemment, les Cylons ne vont pas voir ça d'un bon oeil et vont poursuivre le Galactica afin d'exterminer les derniers humains. Humains qui cherchent la Terre, mais n'ont aucune idée de où elle est. Bref, ils sont dans la galère.

 

 

 

battlestars galactica alignementDes Cylons sont cachés dans cette image, saurez-vous les retrouver ?

Ceux qui ont dit que c'étaient tous les Evil ont perdu :D

 

 

Pour accomplir le génocide de 12 planètes, les Cylons ont créés des robots humanoïdes, qui agissent comme des humains, ce qui leur a permis de baisser les défenses des planètes afin de réduire à néant 20 000 000 000 d'êtres humains. Et c'est là qu'on touche un point fort de Battlestar Galactica : on sait qu'il y a des robots humanoïdes, mais il est impossible de les détecter. Et on sait qu'il y en a parmi les survivants, mais on ne sait pas qui est un cylon. On se retrouve donc à se poser la question de savoir si telle ou telle personne est un Cylon ou non, la série prenant bien plaisir à nous surprendre dans ce domaine et ce, plus d'une fois. Sans compter que la série joue aussi bien avec l'humanité des personnages, les rendant particulièrement attachants, alors quand la révélation tombe... Ca calme. Et là, je vais pointer le personnage le mieux réussi de la série à mes yeux : Gaïus Baltar.

 

 

Durant la première saison, je ne compte plus le nombre de fois où j'ai eu envie de baffer ce type, tant c'est un enfoiré égoïste. Ce type, c'est... Je ne trouve pas de mots pour le décrire tant il est centré sur sa propre personne et ne pense qu'à sauver sa peau coûte que coûte. C'est un fumier de première qui n'assume pas ses actes. Et c'est ce qui le rend si attachant et en fait le personnage le plus humain du lot au final. Car bon, les gentils héros, c'est mignon, mais sans Gaïus pour les mettre en relief, Battlestar Galactica perdrait beaucoup d'intérêt. Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai souhaité la mort de Gaïus. Surtout que même au fond du trou, il arrive encore et encore à foutre la merde et à revenir sur le devant de la scène. D'un autre côté, c'est le fait qu'il fasse tout et n'importe quoi pour garantir sa survie qui le rend si humain au final. N'empêche, on pourrait presque écrire une thèse sur Gaïus tant il... Voilà quoi. Gaïus Baltar est un héros, mais pas au sens classique du terme. C'est un héros de l'humanité, pas un héros classique qui est parfait par définition.Donc ouaip, viva Gaïus !!!

 

 

 

En sus de Gaïus, Battlestar Galactica est une série qui possède une pléthore de personnages qui sont tous plutôt intéressants. On ne s'ennuie guère à les voir évoluer, s'engueuler, s'aimer et j'en passe. Cette série a su vraiment bien mettre en avant notre humanité au sens large du terme. Le tout étant pimenté de séquences et batailles spatiales fichtrement bien réalisées et pas trop longues, mettant suffisament d'action pour rompre l'ennui qui pourrait guetter au milieu de ces déboires purement humains. La série pense aussi à prendre en compte des petits détails, comme consacrer des épisodes au ravitaillement, par exemple, renforçant son côté réaliste. Car cette série se veut plutôt réaliste, ce qui explique son côté un peu sombre. Elle n'a clairement pas pour ambition de présenter un monde tout beau et tout gentil, mais vise quelque chose de plus terre-à-terre. C'est ce qui fait sa force sur la durée et pourquoi elle est généralement autant aimée par ceux qui l'ont vu en entier.

 

 

 

En effet, Battlestar Galactica n'est pas une série parfaite. De manière générale, la série est découpée en arcs narratifs de 4/5 épisodes, le tout entrecoupé par des épisodes stand-alone. Si globalement, il n'y a pas grand chose à reprocher aux arcs narratifs, la qualité des stand-alones est aléatoire, allant du très mauvais (l'épisode avec le médecin, téléphoné de bout en bout) au très bon (celui sur la lutte des classes, qui rappelle le fait que, non, tout le monde n'est pas heureux). Du coup, il y a forcément des moments moins passionnants. Et il est fort probable que quelques incohérences puissent être relevées vu que la série a été écrite au fur et à mesure de sa production, ce qui fait que les auteurs ne savaient même pas vraiment où ils allaient. Sauf que sur sa totalité, Battlestar Galactica est une série excellente. Et même ceux qui ont détesté sa fin, lui reconnaisse ce mérite.

 

 

 

20100322PHOWWW00283Cette image résume parfaitement l'état de l'humanité après l'attaque des Cylons.

Ah oui, le reste de l'humanité est représenté par le policier au fait.

Tous les humains de l'autre côté représente les Cylons :D

 

 

 

Il faut savoir que cette série se déroulant principalement à un niveau humain, il est évident qu'elle ne pouvait faire l'impasse sur la notion de spiritualité, notion typiquement humaine. Et lors de la fin qui a dû faire couler beaucoup d'encre, la spiritualité a pris une place trop importante, abusant d'un Deus ex Machina pour certains. Ce n'est pas trop de mon point de vue, vu que j'ai trouvé que la série restait cohérente avec ses débuts. La spiritualité, la croyance en des dieux, sont des choses présentes depuis le tout début de l'histoire, vu que la recherche de la treizième colonie ne se base que sur des légendes. A mes yeux, c'est au contraire une fin plutôt logique par rapport à tous les échanges socio-politico-religieux qu'il y a pu y avoir depuis le début de la série (le passage sur l'avortement est d'ailleurs passionnant). Car oui, la série est aussi bardée de débats comme l'indépendance de la presse, la notion de relation entre militaires et société civile qui possèdent son propre gouvernement, les problèmes de gouvernement, le marché noir et j'en passe... Cette série arborde nombre de problèmes et thèmes de front, ce qui provoque moults et moults échanges passionnants et réactions instructives. On a guère le temps de s'ennuyer, tant les thématiques abordés sont nombreuses au fil de l'histoire.

 

 

 

 

 

Finalement, ce qui fait la force de Galactica, c'est sa trame de fond et l'humanisme qui se dégage de la réalisation de cette série. On peut râler sur l'absence de "futurisme" dans la réalisation de vaisseaux, de sa thématique de fin assez cynique finalement, de la poche ventrale sensible (je m'explique vite fait : des fois, quand des types se font tirer dessus, ils meurent en 30s... Alors que d'autres survivent de longues heures. Ca donne un peu l'impression qu'il y a une zone vitale spéciale dans le ventre et quand le perso doit mourir dans la série, on lui tire dessus à cet endroit et pouf, il meurt rapidos. Par contre, si le scénar n'a pas prévu qu'il meurt, si on tire au même endroit, il ne meurt pas. C'est magique), de l'inégalité des épisodes, mais on portera aux nues son humanité, sa trame de fond passionnante, les multiples surprises, le fait que les blessures subies ne disparaissent pas du jour au lendemain, cette épopée humaine, l'évolution des personnages, les rapports qu'ils entretiennent, les multiples thématiques abordés, les Cylons - car même si je n'ai pas parlé d'eux, ils sont fondateurs et moteurs de l'humanité, nouant parfois des liens complexes avec les humains, c'est même une partie du coeur de la série, ces humains qui sont Cylons...

 

 

 

Battlestar Galactica, malgré tous ses défauts, est incontestablement une excellente série qui ne laisse aucun amateur de SF indifférent. Faut dire qu'une SF de ce type, qui ne présente pas quelques chose d'aussi lisse que Stargate, c'est assez rare à la télévision...

 

 

Annexe :

Des images de la série (qui contient quand même de jolies filles en passant :D )

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21 octobre 2010 4 21 /10 /octobre /2010 10:27

Aujourd'hui, fier guérillo en mal d'écran, je me suis penché sur le programme TV de la soirée.

 

C'est alors que mes yeux se sont écarquillés.

 

Il y a du manga en prime-time sur Virgin 17 Direct Star.

 

Oui, oui.

 

Du manga en prime-time qui n'est même pas du Miyazaki O_o

 

Du manga qui n'est même pas un long métrage.

 

Bon OK, c'est une série à succès.

 

Bon OK, ça s'est déjà vu sur le câble en prime-time et autres.

 

Sauf que sur la TNT, c'est quand même plus que rare et c'est une chaîne bien plus généraliste que ce qui se fait sur le câble. Car bon, One Piece a quand même dégagé 24H Chrono de sa case horaire. C'est pas rien. J'ose imaginer que c'est fait pour durer - si l'audience suit, of course. C'est ptêt juste un test fait à la va-vite par Direct Star. Pas moyen de trouver le programme pour Jeudi prochain, donc bon...

 

En tout cas, ça m'a fait poser la question de savoir : y'a quoi à la TNT comme mangas en ce moment ?

 

Et bien...

 

Sur NT1 :

- Dragon Ball ( tôt le matin ^^)

- Naruto (un peu plus tard le matin)

- Nicky Larson (en début de soirée)

- Initial D (très tôt)

 

Sur Direct Star :

- Black Butler (en fin d'après-midi)

- One Piece (en prime time)

 

Sur Gulli :

- Pokemon, toujours au poste :p

- Beyblade, pour après les cours

- Les mystérieuses cités d'or, le matin

 

 

Notons que ce n'est pas exhaustif. De même, il y a un paquet de mangas possédés non diffusés ou aléatoirement. Par exemple, Direct Star possède la première version de la série de Full Metal Alchemist, et je ne parle même pas de Gulli qui a 15 tonnes de vieilles séries, comme Jeanne et Serge, Princesse Sarah, Sherlock Holmes, etc.... D'ailleurs, TéléGrenadine ne semble plus exister actuellement :(

Gulli a aussi des séries plus récentes comme Yu-Gi-Oh.

France 4 doit encore avoir Albator et Capitaine Flam dans un recoin de médiathèque.

 

 

En tout cas, sans surprise, c'est le shônen qui truste les diffusions actuellement. Mais finalement, j'aurai eu tendance à penser qu'il y en avait moins que ça qui étaient diffusés. Comme quoi. Sans compter que si on prend en compte le satellite, le câble et l'ADSL, l'offre devient déjà plus intéressante.

 

Ce qu'on peut en déduire ?

Ben, que le contingent des grosses chaînes TV (aujourd'hui la TNT, avant les 6 chaînes hertziennes) ne diffusent pas plus de mangas qu'avant. Genre, y'en a autant qu'au temps du Club Do, sans compter les multiples traversées du désert qu'il y a eu avant l'arrivée de Pokemon ou Yu-Gi-Oh.

 

N'empêche, quand je vois les films de merde que diffusent NT1, NRJ12 et Direct Star, devrait pourtant y avoir plein de cases horaires qui sont dispos pour passer des mangas. Surtout que l'offre est quand même pléthorique.

 

En tout cas, si le prime-time fonctionne ce soir, il est probable que One Piece squatte durablement cette tranche horaire. Après, est-ce que cette locomotive pourra tirer l'achat de d'autres licences, j'en doute. Si la case manga de Virgin 17 avait vraiment beaucoup fonctionné il y a un ou deux, j'imagine que cette dernière serait encore en vie. C'est d'ailleurs assez amusant, car ça donne un peu l'impression que cette chaîne est en phase de test vis-à-vis des mangas. A la recherche du bon créneau horaire. Ou, tout au moins, de tenter de valoriser des trucs qui ont à priori du potentiel.

 

En tout cas, on ne peut pas leur reprocher de prendre un peu de risque. Ils dégagent 24H Chrono pour le coup.

 

Bah, stoppons les réflexions, contentons-nous du plaisir d'avoir One Piece en prime-time, c'est mieux que rien :)

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20 octobre 2010 3 20 /10 /octobre /2010 19:49

Aaaaahhhhh, Olive et Tom.

 

Un anime qui a su marquer son époque et une certaine jeunesse avec ses terrains géants, ses sauts phénoménaux, ses persos CHARISMATIQUES (Mark Landers btw) !

 

Il n'y avait jamais eu de dignes successeurs dans nos contrées qui avaient su prendre la relève pour réhausser l'intérêt de ce sport où les joueurs font des bonds de titans et jouent quasiment tous honnêtement. Mieux. Même blessés jusqu'au sang, ils se battent jusqu'au bout pour le plasir de combattre leurs adversaires, pour l'honneur de leur équipe et j'en passe.

 

 

Et bien...

 

Il semblerait que son successeur existe. Il est sur Disney Channel.

 

Est-ce bien ?

 

J'en sais rien, je n'ai regardé que 10 minutes, mais ça avait l'air consommable. S'il y a des nostalgiques footeux qui ont envie de tenter l'expérience, vous savez quoi faire maintenant. :)

 

A noter que dans la version japonaise, le héros a la même voix que celle de Naruto. Je préfère prévenir ^^

 

Mais le point positif que je note par défaut, c'est que le héros est le goal. Et ça, c'est cool. C'est un job trop souvent dévalorisé alors qu'il est pourtant de tout premier ordre. Le goal est le dernier rempart. Le goal est celui qui décide de l'issue d'un match, bien plus que le buteur. Le goal, c'est le juge de paix. Celui-ci par qui tout se décide.  Car le goal n'a pas le droit à l'erreur. Alors qu'un buteur... Si les stats d'arrêt de goals étaient les mêmes que les stats de tirs réussis des buteurs, les matchs finiraient avec des scores de 20 - 19 et pas 2 - 1, vu le nombre de fois où les buteurs tirent à côté des buts. Le goal, c'est le Dieu du terrain, on ne le dit pas assez souvent.

Non, non, je ne dis pas ça parce que j'ai fait goal dans ma jeunesse. Mais faut dire que goal, c'est un job sympa de surcroît. Ben ouais, tous les autres joueurs courent bêtement derrière la balle, alors que le goal ,lui, il attend que la balle arrive à lui. Le goal, c'est le type qui a tout compris à la vie. Celui-ci qui attend, peinard, en sirotant un cocktail et en engueulant les autres joueurs quand ils font mal leur taf'. Donc ouaip, goal, c'est un métier d'avenir.

Tous les procrastinatiques de ce monde devraient vénérer les goals. Ces types sont la quintessence de l'espèce humaine et d'un mode de vie. Des types qui ont compris que "Rien ne sert de courir, il suffit d'attendre peinard."

 

Le Goal, c'est un être mystique qui a fait de la fainéantise, une force. Une force sur laquelle se repose toute l'équipe. Ne sous-estimez jamais les goals. JAMAIS.

 

 

Sinon,  je ne sais pourquoi, mais cet anime m'a fait penser à Digimon. Comme ça.

 

Bon, je dois bien reconnaître que c'est un peu la dèche niveau mise à jour sur le blog en ce moment. La faut à deux gros points :

- j'ai plus de boulot au taf' actuellement, donc je ne puis plus pondre de pavés en douce.

- je me suis shooté à Battlestar Galactica. Cette série déchire. Et il faut que j'écrive un pavé dessus. Mais je n'arrive pas à prendre le temps de le faire malheureusement. Donc je repousse la réalisation de l'article. Et j'update rien. J'ai bon espoir de corriger ce petit travers, mais je me suis mis à mater Macross 7 suite à cet article. J'avais laissé tomber, et là, je me suis remis dessus. Et j'accroche plutôt bien. Donc...

 

 

Enfin, bref, tant pis, concluons cet article avec des liens àlakon :

 

- des godies bien laids

 

- une animation sur une église qui déchire (et dire que j'ai vu cette église IRL il y a bien longtemps, ça me rappelle des souvenirs ^^)

 

- Metro, le journal qui fait l'actualité dès qu'elle sort

 

- le Blue-Ray, c'est dépassé

 

- un article intéressant sur les retraites

 

- un sein site

 

- Google prépare l'avenir

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